jeudi 29 décembre 2011

quand un auteur vous offre ses livres...


Quant un auteur vous contact sur facebook et vous propose de vous faire lire ses livres... Souvent j'hésite un peu avant d'accepter, mais là, l'auteur m'a intrigué... 
Et, bonne surprise, je viens tout juste de les recevoir au courrier de ce matin... 
Alors, grand merci monsieur l'auteur,
 je vous lirai avec grand plaisir, 
et je vous remercie pour votre dédicace sympathique.
Prévu de lire le premier en janvier et le second en février... pour faire durer le plaisir.

La fièvre des corps célestes de Carmen Duca, polar gastrologique...
Carmen Duca est spécialisée en Phobies Expérimentales et Cuisines Séraphiques. « La fièvre des corps célestes » est son premier plat aux ingrédients tombés du ciel. Secrétaire dans une agence de détectives à Grenoble, Ami rêve d'apporter son grain de sel dans une vraie enquête sur le terrain. L'entrée dans le métier sera coriace : l'insoluble énigme d'un assassinat va lui faire avaler des couleuvres et des kilomètres. Ami réussira-telle là où la police a échoué ?
La première enquête d'Amalia Bostan « Un mécanisme à base de multiples toupies sétait mis à vriller dans son cerveau. Des scénarios sur la mort de Nine Farinas défilaient en boucle sur l'écran mental. Quand elle arrivait enfin à sombrer dans le someil, la tête du tueur en série collait au hublot : grosse, rasée, traversée d'un rictus ébréché.
Parfois, il prenait la forme d'un homme affligé d'acromégalie qui promenait un index énorme sur son cou. Parfois il avait un air doux, familier, un petit air de Didier van Cauwelaert sans son sourire magique. »

Radu Bata est un travailleur intermittent du mot et de la vie. Avec quelques méfaits livresques dans le compte (édités sous pseudonyme) et «un petit dictionnaire comme bâton de maréchal dans sa giberne», Radu Bata survit dans son «laboratoire de balistique verbale», quelque part entre La Seine et Le Danube. Après des efforts soutenus pour bien tout rater comme il faut, RB touche au but.
« Mines de petits riens sur un lit à baldaquin » est son premier ouvrage édité par les Editions Galimatias.

Mine de petits riens sur un lit à baldaquin de Radu Bata, fiction bio...
Une course intérieure au bout de la nuit dont les étapes sont étonnantes. Un parcours personnel en morceaux, à mi-chemin entre journal, poésie et narration, où le langage et ses éclairages font des pirouettes quand ils ne sortent pas du chapeau des lapins volants.
« Mine de petits riens sur un lit à baldaquin » est « le testament français d’un voyageur sans bagages »
Ils voyagent en permanence entre deux cultures. Entre deux langues. Roumains hier. Français aujourd’hui. Leurs mots s’entrecroisent. S’entrechoquent. Font des étincelles. Et s’enflamment enfin avec Galimatias, leur maison d’édition. Leur utopie.
Voilà des années que ce couple meylanais se régale de littérature française. Déjà en Roumanie sous Ceausescu, les livres en français circulaient sous leur manteau. C’est comme ça qu’ils ont appris la langue.
Après la révolution, ils ont été nombreux à partir.  « La France c’était notre rêve, celui de notre génération ». Ils avaient 35 ans. Leur première vie.
21 ans plus tard, Carmen Duca et Radu Bata sont allés au bout de leur destin. Et souhaitent maintenant rendre hommage à leurs racines.
Éditer des ouvrages qui ne sont pas configurés selon les standards du marché
Avec Galimatias, ils veulent faire découvrir la littérature roumaine. Ils sont actuellement dans la traduction de plusieurs ouvrages, romans, polars, nouvelles et chroniques. Carmen est tout prêt d’accéder aux écrits de son idole : Rodica Ojog-Brasoveanu, l’Agatha Christie roumaine.
Ils ont également reçu une vingtaine de manuscrits sur lesquels ils travaillent.
En attendant d’éditer ces œuvres, et pour “tester” leur fonctionnement et leur réseau de professionnels, ils ont publié chacun leur livre. Carmen, un policier “La fièvre des corps célestes”, une enquête à l’ancienne (N.D.L.R. : coup de cœur de la Fnac Grenoble). Radu, un zapping littéraire “Mine de petits riens sur un lit à baldaquin”.
C’est tout sauf de la littérature « étouffe-chrétien » sourit Carmen. Ce n’est pas non plus des « bouquins jetables ». C’est ça leur ambition, « éditer des livres décalés qui ne sont pas configurés selon les standards du marché. Des livres, qui une fois lus, laissent une trace ». Des livres goûteux. Des histoires emmêlées. Galimatias.
www.editions-galimatias.fr
Contact : 04 76 90 44 11- duca@live.fr

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