né le 1er janvier 1955 : Douglas Kennedy, écrivain américain.
Douglas Kennedy (né le 1er janvier 1955 à New York) est un écrivain américain qui décrit d'un œil acerbe certains côtés des États-Unis d'Amérique, dénonçant notamment le paradoxe du puritanisme religieux.
Il grandit dans l’Upper West Side, étudie à la Collegiate School (le plus vieux lycée de New York) et au Bowdoin College dans l’État du Maine, avant de partir un an au Trinity College de Dublin en 1974. De retour à New York, il devient régisseur dans des théâtres de Broadway. En mars 1977, entre deux productions, il décide de partir à Dublin pour rendre visite à des amis. Il restera de ce côté de l'Atlantique.
À Dublin, il devient cofondateur d’une compagnie de théâtre. Il rejoint ensuite le National Theatre of Ireland en tant qu’administrateur de la branche expérimentale. Il y passe cinq années (1978-1983), pendant lesquelles il commence à écrire, la nuit. En 1980, il vend sa première pièce à la chaîne de radio britannique BBC Radio 4. La pièce est aussi diffusée en Irlande et en Australie. Suivent deux autres pièces radiophoniques, également diffusées sur Radio 4.
En 1983, il démissionne de son poste au National Theatre of Ireland pour se consacrer exclusivement à l’écriture. Pour survivre, il devient journaliste indépendant, notamment pour l’Irish Times où il tient une rubrique de 1984 à 1986. En 1986, sa première pièce pour la scène est un échec désastreux, tant critique que public. Peu de temps après, l’Irish Times supprime sa rubrique.
En mars 1988, il déménage à Londres, au moment où son premier livre, un récit de voyage, est publié. Deux autres suivront. Ces trois livres reçoivent un très bon accueil critique. Parallèlement, sa carrière de journaliste indépendant connaît également un essor.
En 1994, paraît son premier roman, Cul-de-sac. En 1997, il est porté à l’écran par Stephan Elliott, le réalisateur de Priscilla, folle du désert.
Son deuxième roman, L'Homme qui voulait vivre sa vie, connaît un succès international. Il est traduit en seize langues et fait partie de la liste des meilleures ventes.
Son troisième roman, Les Désarrois de Ned Allen est aussi un best seller et un succès critique, traduit en quatorze langues.
La Poursuite du bonheur marque un changement radical. Après trois romans que l’on pourrait décrire comme des thrillers psychologiques, il opte pour une histoire d’amour tragique. Il reçoit un excellent accueil critique.
Ont suivi Une relation dangereuse (Belfond, 2003) et Au pays de Dieu (Belfond, 2004).
Parfaitement francophone, Douglas Kennedy vit entre Londres, Paris, Berlin et Wiscasset dans l’État du Maine où il a acheté une maison. Il a été marié de 1985 à 2009 à Grace Carley, conseillère politique au Royaume-Uni, au ministère de la Culture. Ils ont deux enfants.
souvenir de lecture
Harry Ricks, professeur d’art cinématographique dans une université américaine et victime d’une machination dans son pays, décide de se réfugier en France malgré la douleur de laisser sa fille. Il débarque avec quelques économies et son ordinateur pour se consacrer à l’écriture de son roman. Il s’installe d’abord dans un hôtel parisien miteux et se fait dépouiller par un gérant sans scrupules. Puis il se trouve une chambre de bonne, rue de paradis.
Le début du cauchemar ne fait alors que commencer pour lui. Alors qu’il croit avoir touché le fond, une femme va venir bousculer sa vie. Elle s’appelle Margit et habite dans le ve arrondissement. Sensuelle et énigmatique, elle donne rendez-vous à Harry seulement deux fois par semaines de 17h à 20h, pas une minute de plus. Harry est fasciné, envoûté par le charme de cette mystérieuse inconnue et accepte …
seul et unique livre que j'ai lu de cet auteur... pour le moment, aucune intention d'en lire un autre... mais qui sait ...
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