dimanche 23 décembre 2012

A sec (Spinoza encule Hegel Le retour) de Jean-Bernard Pouy,

149 pages

 Enfin le foot... Ce que tricotent les vingt-deux débiles sur le gazon n'intéresse que peu de monde. Et toujours les mêmes. Ceux qui délèguent, parabolisent. Qui gagnent, perdent, ou statuquotent par crétins emmaillotés interposés. Les Kops sont dehors. Partout. A tout moment. Sur la route ; Autour des stades. L'extérieur devient problématique. Ce ne sont que défis, bastons et cadavres. Il n'y a plus de drapeaux, mais des écharpes. Il n'y a plus de manifs, mais des matches, il n'y a plus de votes mais des résultats sportifs. - Et Hegel là-dedans ? " 

Prix Polar 1989, Trophée 813 du meilleur roman 1992, prix Paul-Féval 1996, Jean-Bernard Pouy est un auteur inclassable, inventeur de génie de constructions romanesques rigoureuses, à la fois tendres et féroces, passionnantes et drôles.
lecture commencée le 23/12/2012
début un peu bizarre... pas certaine d'aimer...

se laisse lire, sans plus - terminé le 24/12/2012... genre Sf, quelques belles trouvailles de vocabulaire, mais pas aimé et pas certaine d'avoir tout compris... tant pis ! J'aime toujours l'auteur, alors je le lirai de nouveau.


« Littérature populaire ne signifie pas littérature lue par le peuple, c’est une littérature qui se doit de fournir en premier lieu une lecture pour le plus grand nombre de gens possible.  »

de  Extrait d'une interview sur Evene.fr - Juin 2006


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2 commentaires:

  1. Pas certaine de tenir la distance avec un tel auteur, mais marrant sur quelques lignes...

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    1. et bien moi non plus, j'aime pas le foot ! Certains de ses livres que j'aime bien, là le début ne m'enchante pas vraiment. Pas dit que j'aille au bout, juste pour attendre ceux qui vont arriver demain midi...
      j'espère que tu vas être aussi gâtée !
      bises

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