Adieu Jérusalem de Alexandra Schwartzbrod - 405 pages
- Editeur : Le Livre de Poche (11 janvier 2012)Collection : Policier / Thriller
Kazan, en Russie. Un modeste employé de l'Institut scientifique s'apprête à accomplir le pèlerinage de La Mecque lorsque, la veille de son départ, le site explose sous ses yeux. Et, à son insu, il va introduire dans la ville sainte un terrible fléau disparu depuis le Moyen Age : la peste noire.
Tandis que les morts se chiffrent par milliers, la rumeur enfle : les juifs ont empoisonné l'eau des puits de Zamzam. Et cette rumeur franchit les frontières, jusqu'à Jérusalem déjà chauffée à blanc par la politique de colonisation israélienne. La région s'embrase. Jérusalem tombe.
Cette catastrophe bouleverse l'échiquier politique international, emportant dans son sillage des destins individuels ; de Susan Rice, la secrétaire d'État américaine, confrontée au plus périlleux défi de sa carrière, à Eli Bishara, un commissaire arabe israélien en lutte contre le chaos…
Alexandra Schwartzbrod est journaliste à Libération. Elle a vécu près de trois ans à Jérusalem durant la dernière Intifada comme correspondante pour ce quotidien.
De cette expérience, elle avait tiré un roman,Balagan, paru en 2003 (prix du polar SNCF). Elle a depuis publié Petite mort (2005) et La cuve du Diable (2007).
commencé le 14/04/2012
arrivée page 133 le 17/04/2012, assez touffu, nous fait voyager en Russie, en Israël, en Turquie, aux Etats-Unis, aux Emirats arabes... on s'y perd un peu.
terminé le 21/04/2012
terminé le 21/04/2012
notes : se laisse lire, sans plus
soit je n'étais pas en forme
soit ce livre n'était pas fait pour moi !
bref, déçue
soit je n'étais pas en forme
soit ce livre n'était pas fait pour moi !
Trop d'actualité... conflit israélo-palestinien, Israël face au monde entier,
Trop d'aller et retour à travers le monde, je m'y perds,
bref, ni l'envie ni le courage de m'attaquer à une critique,
et encore moins à me livrer à des recherches "historique"
Un peu dommage, qu'il ne soit pas plus question de la Russie d'où est partie l'épidémie, cela m'aurait semblé logique pourtant.
Grand Prix de Littérature Policière
Le Grand Prix de Littérature policière est probablement la distinction la plus prestigieuse dans le domaine du roman policier en France. Il a été fondé en 1948 par Maurice-Bernard Endrèbe traducteur, chroniqueur et auteur lui-même.
- 2011 Doa, Dominique Manotti L'Honorable société (Gallimard)
- 2010 Alexandra Schwartzbrod Adieu Jérusalem (Stock)
- 2009 Hervé Le Corre Les Coeurs déchiquetés (Rivages)
- 2008 Caryl Férey Zulu (Gallimard)
- 2007 Doa Citoyens clandestins (Gallimard)
- 2006 Catherine Fradier La colère des enfants déchus (Après la lune)
- 2005 Philip Le Roy Le Dernier Testament (Au Diable Vauvert)
- 2004 Virginie Brac Double Peine (Fleuve Noir)
- 1989 Tito Topin Un Gros besoin d'amour (Grasset)
source : http://www.prix-litteraires.net/
curiosité de lectrice 1 :
Kazan (en tatar : Казан, Qazan, littéralement « chaudron » ; en russe : Казань) est une ville de Russie et la capitale de la république du Tatarstan. Elle est située au confluent de la Volga et de la Kazanka, 720 km à l'est de Moscou. Sa population s'élève à 1 180 238 habitants en 2008.
Kazan est un centre universitaire et industriel ainsi qu'un important nœud de communications. C'est également le centre religieux musulman de Russie.
illustration : La mosquée de Kazan.
Sont nés à Kazan :
- Vassili Aksionov (°1932), écrivain russo-américain
- Fédor Chaliapine (1873-1938), chanteur d'opéra
- Gala Dalí (1894-1982), épouse de Paul Éluard puis de Salvador Dalí
- Gavril Derjavine (1743-1816), poète et homme politique
- Alexandre Fadeïev (°1964), patineur artistique
- Natalia Gutman (°1942), violoncelliste
- Tchoulpan Khamatova (°1975), actrice de cinéma
- Alexandre Louria (1902-1977), psychiatre
- Evgueni Schwarz (1896-1958), écrivain
pas spécialement envie de suivre l'auteur...
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