... complètement perdue dans les challenges... donc, grand ménage de printemps, de façon que le blog soit un peu plus aéré... tous regroupés dans le bandeau. Je n'aurai probablement pas terminé aujourd'hu, si par hasard j'avais oublié l'un de vos challenges, n'hésitez pas à me le dire.
challenge littérature juive : à revoir entièrement
challenge Patrimoine littéraire : j'y ai regroupé les challenges individuels par auteurs (que je suis plus ou moins régulièrement) + le challenge des Nobel de littérature + les 100 livres "qu'il faut avoir lu dans sa vie"...
le tour du monde littéraire : tous les challenges géographiques classés par continents.
challenges longue durée : tous les autres en vrac,
Alternance de nuages et d'éclaircies le matin avec un temps couvert l'après-midi. En soirée, le ciel sera couvert
La température minimum prévue est de 7°C et le maximum de 16°C.
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programme télé
Acteur : Mathieu Amalric, Patrick Bruel, Cécile De France
Réalisateur : Claude Miller
François Grimbert, la petite quarantaine, se souvient de son enfance, dans les années 50, à Paris. Solitaire et rêveur, plus intellectuel que sportif, il s'était inventé un frère, plus téméraire que lui, et surtout plus conforme aux aspirations de son père, Nathan. François aimait à déserter le bel appartement familial pour passer du temps avec sa voisine Louise, qui s'occupait de lui comme s'il était son enfant. Un jour, Louise s'était enfin décidée à lui raconter le secret qui pesait sur sa famille depuis la sombre période de la Seconde Guerre mondiale, de l'Occupation et des diverses collaborations avec les militaires du Reich hitlérien...
j'avais aimé le livre, espérons que le film ne le trahira pas trop...
Les douanes israéliennes ont interdit l’entrée en Israël d’un grand classique de la pensée juive.
Francois Busnel suit de près l'actualité littéraire avec, pour seul mot d'ordre, le plaisir. Grand prix de littérature policière 2008 pour «Zulu», Caryl Ferey en dit plus sur son nouvel ouvrage, «Mapuche», dans lequel il évoque la répression en Argentine lors des années de dictature. Trois années de recueils de témoignages et d'écriture ont été consacrées à ce roman.
Avec «Blue Jay Way», Fabrice Colin livre un roman hypnotique et trash. Il partage ce qui a motivé son envie de l'écrire.
Officier de police, Laurent Guillaume dévoile certaines de ses sources d'inspiration pour son épais polar «Doux comme la mort».
Enfin, avec l'esprit jubilatoire qu'on lui connaît, Jean Tulard dit tout de son «Dictionnaire amoureux de Napoléon».
prévu d'acheter Mapuche de Ferey Caryl
pour les autres, pas dans l'immédiat,
je fais un blocage sur le genre polar et thriller en ce moment...
je jette juste un oeil par curiosité.
Blue jay way de Fabrice Colin
Julien, jeune Franco-Américain féru de littérature contemporaine, a perdu son père le 11 septembre 2001 dans l avion qui s est écrasé sur le Pentagone. Désireuse de lui faire oublier ce drame, la célèbre romancière Carolyn Gerritsen, qui l a pris en amitié, lui propose d aller vivre à Los Angeles chez son ex-mari producteur, afin qu il officie en tant que précepteur auprès de leur fils Ryan. À Blue Jay Way, villa somptueuse dominant la ville, Julien est confronté aux frasques du maître des lieux, Larry Gordon, et à une jeunesse dorée hollywoodienne qui a fait de son dés uvrement un art de vivre : un monde où tous les désirs sont assouvis, où l alcool, les drogues et les parties déjantées constituent de solides remparts contre l ennui. Peu à peu, Julien se laisse séduire par ce mode de vie délétère et finit par nouer une relation amoureuse avec Ashley, la jeune épouse de Larry (et belle-mère de Ryan). Lorsque la jeune femme disparaît mystérieusement, il doit tout faire pour dissimuler leur liaison sous peine de devenir le principal suspect. Ce n est que le début d un terrible cauchemar : très vite, les morts violentes se succèdent, mensonges, trahisons et manipulations deviennent la norme, et la paranoïa apparaît comme le dernier refuge contre un réel insupportable. Julien doit savoir, pourtant, il n a plus le choix : il fait partie de l histoire.
Styliste hors pair, Fabrice Colin donne ici de nouveaux territoires au thriller et nous offre un roman profondément contemporain, qui dresse le portrait d une époque où réalité et fiction ont irrémédiablement partie liée, parfois pour le meilleur, souvent pour le pire. Los Angeles, la ville où tout est filmé et où, pourtant, tout est faux, est le cadre idéal de cette palpitante descente aux enfers, doublée d une intrigue machiavélique.
Quatre fois lauréat du grand prix de l Imaginaire, Fabrice Colin s est illustré dans de nombreux domaines des littératures de genre, écrivant pour la jeunesse (Projet oXatan, La Malédiction d Old Haven, Bal de givre à New York, etc.) aussi bien que pour les adultes (Dreamericana, Or Not To Be, Big Fan, etc.). Il est également scénariste de BD et auteur de pièces radiophoniques.
Doux comme la mort de Laurent Guillaume
Il dégaina le pistolet et engagea une balle dans la chambre. Dans le silence lourd qui s'était abattu sur Gao, la culasse fit un petit bruit funèbre, de ceux qui annoncent l'orage. Désormais il n'y avait plus que la cible et lui. Dans une prison malienne, le Messager, ancien commando de marine devenu mercenaire, purge sa peine comme une rédemption. Et lorsqu'on vient le sortir de sa retraite pour une ultime mission, il se lance à corps perdu dans un périple sanglant. Sur sa route, une femme flic amoureuse, un Djihadiste salafiste, un galeriste parisien passionné, un acteur de films X reconverti dans le proxénétisme, un policier de l'anti-terrorisme, un ancien ministre de la Défense, un biker à machette... Trahir son Messager est dangereux, car il ne délivre qu'un seul message : la mort.
coup d'oeil dans la presse
Motif : l’ouvrage, rédigé en arabe, a été imprimé à Beyrouth, et donc son introduction en territoire israélien enfreint "la loi relative au commerce avec l’ennemi".
L’ouvrage incriminé, rapporte le Haaretz, est le Kuzari, une œuvre centrale de la philosophie juive médiévale, rédigé par le poète et philosophe espagnol juif, Yehuda Halevi, mort en 1141.
Une douzaine de copies de l’ouvrage sont retenues au pont Allenby, à la frontière entre Israël et la Jordanie.
L’éditeur de l’ouvrage est un Irakien réfugié en Allemagne depuis des années. La maison d’édition est domiciliée en Allemagne, mais l’édition a été imprimée à Beyrouth.
Selon Nabih Bashir, un doctorant résidant à Jérusalem qui est l’auteur de la traduction en arabe de l’actuelle édition du Kuzari, la plupart des livres en arabe vendus en Israël sont importés du Liban. Selon lui, les douaniers ferment les yeux et laissent entrer ces ouvrages qui sont lourdement taxés.- http://www1.alliancefr.com/articles.ahd?art_id=19905
On apprend également que la veuve de l'auteur, Silvia Lemus, souhaite faire revenir les cendres de son mari en France, direction le cimetière de Montparnasse. C'est l'ultime volonté de Carlos Fuentes, qui avait demandé à reposer auprès de ses enfants, Carlos et Natasha, morts en 99 et 2005, et enterrés à Paris - http://www.actualitte.com/actualite/monde-edition/international.htm
L’ouvrage incriminé, rapporte le Haaretz, est le Kuzari, une œuvre centrale de la philosophie juive médiévale, rédigé par le poète et philosophe espagnol juif, Yehuda Halevi, mort en 1141.
Une douzaine de copies de l’ouvrage sont retenues au pont Allenby, à la frontière entre Israël et la Jordanie.
L’éditeur de l’ouvrage est un Irakien réfugié en Allemagne depuis des années. La maison d’édition est domiciliée en Allemagne, mais l’édition a été imprimée à Beyrouth.
Selon Nabih Bashir, un doctorant résidant à Jérusalem qui est l’auteur de la traduction en arabe de l’actuelle édition du Kuzari, la plupart des livres en arabe vendus en Israël sont importés du Liban. Selon lui, les douaniers ferment les yeux et laissent entrer ces ouvrages qui sont lourdement taxés.- http://www1.alliancefr.com/articles.ahd?art_id=19905
Les cendres de Carlos Fuentes iront au cimetière Montparnasse
On apprend également que la veuve de l'auteur, Silvia Lemus, souhaite faire revenir les cendres de son mari en France, direction le cimetière de Montparnasse. C'est l'ultime volonté de Carlos Fuentes, qui avait demandé à reposer auprès de ses enfants, Carlos et Natasha, morts en 99 et 2005, et enterrés à Paris - http://www.actualitte.com/actualite/monde-edition/international.htm
Gouvernement : Aurélie Filippetti, sans surprise, prend la Culture
c'est sans très grande surprise qu'Aurélie Filippetti a été nommée au poste de ministre de la Culture. Née en 1973, cette femme politique et romancière (dernier titre paru chez Stock) a ainsi été placée à la tête de la rue de Valois.
Plusieurs jolis dossiers l'attendent d'ores et déjà, ainsi que Frédéric Mitterrand l'avait signalé : Hadopi, le livre numérique et les questions de concurrence, la BnF, qui n'en peut plus d'être étrangement menée... et évidemment bien d'autres.
Un homme dans la poche - Il est plus âgé qu'elle, marié, père de famille, installé, sûr de lui. Elle l'aime passionnément. Pourtant il ne renoncera pas à sa vie confortable ; ils ne partiront pas ensemble. Mais elle gardera toujours cet homme - "son amour", comme elle l'appelle encore après tant d'années - dans sa poche.
Une écriture splendide, tendue par le désir à l'état pur ; un livre déchirant.
Les Derniers Jours de la classe ouvrière - Deux enfants dansaient et sautaient dans la cour déserte de l?école primaire. Deux petites filles surprises et ravies par la joie de la cité. Personne ne les avait vues sortir. Elles ne comprenaient pas pourquoi c'était si surprenant que la gauche eût gagné. Elles vivaient au milieu de militants communistes, parfois socialistes. La droite, ça devait bien exister, puisqu'on en parlait, mais c'étaient les patrons, c'était loin. Il y avait donc de vraies gens qui ne votaient pas communiste ? Elles ne se posèrent pas longtemps la question. Qu'importe la raison, c'était un soir de fête. Elles se sentaient un peu ridicules, mais il fallait marquer le coup. Elles grimpèrent sur le mur de l'école, levèrent leur visage vers la voûte constellée d'étoiles et crièrent du plus fort de leur souffle de huit ans : « On a gagné ! On a gagnééé ! »
Curieuse de savoir ce que madame la ministre avait écrit...
pas certaine d'être tentée de la lire...
rien de personnel, mais les thèmes ne m'inspirent pas.
Le reste de la composition du gouvernement suit :
• M. Laurent FABIUS, ministre des affaires étrangères
• M. Vincent PEILLON, ministre de l'éducation nationale
• Mme Christiane TAUBIRA, garde des sceaux, ministre de la justice
• M. Pierre MOSCOVICI, ministre de l'économie, des finances et du commerce extérieur
• Mme Marisol TOURAINE, ministre des affaires sociales et de la santé
• Mme Cécile DUFLOT, ministre de l'égalité des territoires et du logement
• M. Manuel VALLS, ministre de l'intérieur
• Mme Nicole BRICQ, ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie
• M. Arnaud MONTEBOURG, ministre du redressement productif
• M. Michel SAPIN, ministre du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social
• M. Jean-Yves LE DRIAN, ministre de la défense
• Mme Aurélie FILIPPETTI, ministre de la culture et de la communication
• Mme Geneviève FIORASO, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche
• Mme Najat VALLAUD-BELKACEM, ministre des droits des femmes, porte-parole du Gouvernement
• M. Stéphane LE FOLL, ministre de l'agriculture et de l'agroalimentaire
• Mme Marylise LEBRANCHU, ministre de la réforme de l'Etat, de la décentralisation et de la fonction publique
• M. Victorin LUREL, ministre des outre-mer
• Mme Valérie FOURNEYRON, ministre des sports, de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative
• M. Jérôme CAHUZAC, ministre délégué auprès du ministre de l'économie, des finances et du commerce extérieur, chargé du budget
• Mme George PAU-LANGEVIN, ministre déléguée auprès du ministre de l'éducation nationale, chargée de la réussite éducative
• M. Alain VIDALIES, ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement
• Mme Delphine BATHO, ministre déléguée auprès de la garde des sceaux, ministre de la justice
• M. François LAMY, ministre délégué auprès de la ministre de l'égalité des territoires et du logement, chargé de la ville
• M. Bernard CAZENEUVE, ministre délégué auprès du ministre des affaires étrangères, chargé des affaires européennes
• Mme Michèle DELAUNAY, ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes âgées et de la dépendance
• Mme Sylvia PINEL, ministre déléguée auprès du ministre du redressement productif, chargée de l'artisanat, du commerce et du tourisme
• M. Benoît HAMON, ministre délégué auprès du ministre de l'économie, des finances et du commerce extérieur, chargé de l'économie sociale et solidaire
• Mme Dominique BERTINOTTI, ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée de la famille
• Mme Marie-Arlette CARLOTTI, ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes handicapées
• M. Pascal CANFIN, ministre délégué auprès du ministre des affaires étrangères, chargé du développement
• Mme Yamina BENGUIGUI, ministre déléguée auprès du ministre des affaires étrangères, chargée des Français de l'étranger et de la francophonie
• M. Frédéric CUVILLIER, ministre délégué auprès de la ministre de l'écologie et du développement durable, et de l'énergie, chargé des transports et de l'économie maritime
• Mme Fleur PELLERIN, ministre déléguée auprès du ministre du redressement productif, chargée des petites et moyennes entreprises, de l'innovation et de l'économie numérique
• M. Kader ARIF, ministre délégué auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combattants.
ils sont dans l'éphéméride du jour...
illustration : Herbert Badham
1873 : Henri Barbusse,
écrivain français
(† 30 août 1935).
Le Feu - Les années 1915 et 1916 ont marqué, pour Henri Barbusse, des dates décisives. C'est en 1915 qu'il a vécu Le Feu dans les tranchées du Soissonnais, de l'Argonne et de l'Artois, comme soldat d'escouade, puis comme brancardier au 231e régiment d'infanterie où à s'était engagé.
C'est en 1916, au cours de son évacuation dans les hôpitaux, qu'il a écrit son livre. Celui-ci, publié par les Editions Flammarion à la fin de novembre, remportera aussitôt après le prix Goncourt.
Le Feu est considéré depuis près de trois quarts de siècle dans le monde entier comme un des chefs-d'oeuvre de la littérature de guerre, un des témoignages les plus vrais et les plus pathétiques des combattants de première ligne. Témoignage impérissable aussi : Le Feu, traduit dans la plupart des langues, continue de susciter chez les jeunes un immense intérêt. Le Feu est suivi du Carnet de guerre qui permet de remonter aux sources mêmes de la création du roman épique d'Henri Barbusse.
Encore un livre lu autrefois et qui ne m'a laissé aucun souvenir...
peux de chance que je le relise pourtant, chef d'oeuvre ou pas,
j'ai horreur des livres de guerre !
1960 : Jules Supervielle,
homme de lettres français
(° 16 janvier 1884).
Le voleur d'enfants - Sept ans, dit-on, est l'âge de raison mais cela n'empêche pas celui qui l'atteint de garder des années précédentes l'habitude du merveilleux prise à fréquenter les fées. Antoine Charnelet accepte donc sans effroi qu'une main inconnue l'entraîne à travers la foule loin de sa bonne pour le conduire chez le colonel Philémon Bigua.
Il y restera sans regret. Qui résisterait à la magie des récits que lui fait le colonel de son lointain pays natal- l'Amérique du Sud, à l'évocation des pampas, à l'atmosphère d'etancia qu'il recrée dans la maison?
C'est le colonel lui-même qui l'a volé, comme il a volé d'autres enfants malheureux : Joseph et les jumeaux. Une fille manque à cette famille acquise de si délictueuse façon. Marcelle s'y adjoint très licitement, de par la volonté de son père. Au moment où le colonel semble devoir enfin être heureux, tout craque car l'amour est entré dans l'appartement avec Marcelle - et joseph se rit d'autant mieux des serrures qu'il a soin d'en dérober les clefs.
L'aventure devient alors plus amère que l'océan sur lequel s'embarquent Bigua et les siens - amère comme les souvenirs d'enfance qui ont inspiré au poète ce conte nostalgique et tendre où blanchissent les cheveux des braves gens et brasillent les mirages de l'imagination.
Aucun souvenir de lecture et pourtant certaine de l'avoir lu !
2001 : Frank G. Slaughter,
médecin et romancier américain
(° 25 février 1908).
Frank Gill Slaughter (1908-2001), est un médecin et romancier populaire américain, dont les livres se sont vendus à plus de 60 millions d'exemplaires1. Il a écrit principalement sous le nom de plume Frank G. Slaughter, mais aussi sous le pseudonyme C. V. Terry1.
Ses romans s'inspirent de sa propre expérience en tant que médecin et reflètent son intérêt pour l'histoire et le monde biblique. Il a souvent présenté aux lecteurs les captivants résultats de la recherche médicale et les dernières inventions dans le domaine des technologies médicales.
Je serais bien en peine de citer un titre lu !
et pourtant, adolescente j'en lisais,
l'ancêtre des romans d'amour dans le genre arlequinade...
2009 :Mario Benedetti, écrivain uruguayen
(° 14 septembre 1920).
La Trêve : Comptable depuis vingt-cinq années dans la même entreprise, Santomé, antihéros en manches de lustrine, est à la veille de prendre sa retraite. Et, comme un comptable, il tient le "Journal", le "grand-livre" de son existence dérisoirement quotidienne; il dresse l'inventaire de sa vie sentimentale presque nulle (il est veuf), de sa vie professionnelle, de ses relations avec ses enfants, avec ses amis.
Brusquement, les jours qui jusque-là s'étiraient, vides, lents, obscurs, s'accélèrent. Santomé est amoureux de sa nouvelle collègue, Avellaneda, à peine plus âgée que sa fille. La trêve est cette plage de temps déserte que vient combler une rafale d'amour. Mais la vraie vie n'est-elle pas une trêve ? Une love story ? Une histoire brève ?
Je me sens malheureux, c’est tout. Plus de bureau. A partir de demain jusqu’au jour de ma mort, j’aurai le temps à ma disposition. Après une si longue attente, voici le temps des loisirs. Que vais-je en faire?
Voilà un livre que j'ai lu il y a quelques années,
et il m'a laissé un souvenir très fort.
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