1836 : Leopold von Sacher-Masoch, écrivain et journaliste autrichien († 9 mars 1895).
Leopold Ritter von Sacher-Masoch (27 janvier 1836 à Lemberg – † 9 mars 1895 à Lindheim, en Allemagne) est un écrivain et journaliste autrichien. Le terme masochisme est dérivé de son nom.
Leopold von Sacher-Masoch est le fils de Leopold von Sacher, préfet de police de Lemberg, et de Caroline Josepha von Masoch, fille d’un médecin ukrainien. Caroline, ne pouvant nourrir son fils elle-même, le confia à une nourrice ukrainienne dénommée Handscha. Les récits du folklore ukrainien de cette dernière et les mouvements révolutionnaires et nationaux dont il fut témoin marquèrent profondément le jeune Léopold, et par conséquent influencèrent ultérieurement son œuvre.
Après son doctorat en droit, Léopold von Sacher-Masoch étudie l’histoire. En 1856, il donne des cours à l’université de Graz et publie un ouvrage historique L’Insurrection de Gand sous l’empereur Charles Quint. Il a une liaison avec madame Kottowitz, laquelle, au bout de 4 ans, le quitte pour un autre homme. Cette expérience malheureuse lui inspire La Femme séparée. Il écrit des contes et des romans historiques, et forme le projet d’un cycle de nouvelles, Le Legs de Caïn, qui restera inachevé et devait comprendre six thèmes : l'amour, la propriété, l'État, la guerre, le travail, la mort.
En 1869, il fait la connaissance de Fanny Pistor dont il s'engage à exécuter tous les ordres et désirs pendant six mois. L'année suivante, ils partent en Italie pour mettre en pratique cet engagement. Mais Léopold rentre seul en Autriche et écrit la version définitive de La Vénus à la fourrure ; il en avait déjà rédigé une première version au début de sa liaison avec madame Kottowitz.
Il croit avoir trouvé l'incarnation de Wanda de Dunajew (héroïne du roman) en la personne d'Aurora Rûmelin qui devient sa femme en 1873. Leopold signe un contrat que « Wanda » (c'est ainsi que désormais il appelle Aurora) a rédigé, à son instigation : « Je m'oblige, sur ma parole d'honneur, à être l'esclave de Mme Wanda de Dunajew, tout à fait comme elle le demande, et à me soumettre sans résistance à tout ce qu'elle m'imposera. » (déclaration située à la fin du contrat). Pour que s'accomplisse pleinement son fantasme, il se met à chercher, mais en vain, l'homme (« le Grec » dans le roman) avec lequel Wanda le cocufierait et, en outre, le ferait battre. Dans le cadre de cette recherche, un étrange échange épistolaire se produit entre le couple et un mystérieux inconnu qui signe Anatole (peut-être Louis II de Bavière). Mais petit à petit le mariage se délite, Wanda ne parvenant pas à tenir son rôle. En 1882, elle le quitte pour vivre avec un journaliste du Figaro. La douleur qu'ils éprouvent à la mort de leurs fils ne parvenant pas à les réconcilier, le divorce est prononcé en 1886. La même année, Léopold fait un voyage à Paris où il est nommé dans l'ordre de la Légion d'honneur. Il termine sa vie à Lindheim en compagnie de Hulda Meister, sa nouvelle femme, avec laquelle il a eu deux filles (Olga et Marfa) et un fils (Ramon).
Une grande partie de l'œuvre de Sacher-Masoch est constituée par des contes nationaux et des romans historiques regroupés en cycles. Ses récits ont généralement pour héroïne une femme dominatrice ou sadique (comme dans Eau de jouvence qui raconte l'histoire de la sanglante comtesse Bathory). Deux de ses romans, Pêcheuse d'âme et La Mère de Dieu, concernent des sectes mystiques. Tandis que La femme séparée, qui eut à l'époque un grand succès, s'inspire de sa liaison malheureuse avec madame Kottowittz.
Son chef-d'œuvre est incontestablement La Vénus à la fourrure qui fait partie du thème de l’Amour de son cycle principal, Le Legs de Caïn (seul les thèmes de l'Amour et de la Propriété furent achevés). Le narrateur de ce roman, ayant rêvé d'une Vénus vêtue d'une fourrure, décide d'aller raconter son rêve à son ami Séverin. Chez celui-ci, il comprend vite que deux peintures (une reproduction de La Vénus au miroir du Titien et un tableau représentant une femme dominatrice avec un homme à ses pieds) ornant le salon de son ami sont à l'origine de son expérience onirique. Séverin lui remet alors un manuscrit intitulé Confessions d’un suprasensuel ; dorénavant et presque jusqu'à la fin du roman le lecteur aura sous ses yeux ces confessions. Roman dans le roman, Confessions d’un suprasensuel raconte comment Séverin devient volontairement l'esclave d'une femme, Wanda von Dunajew, qui, à sa demande, le maltraite et l'humilie. À la fin du roman, Séverin affirme à son ami : « la femme, telle que la nature l'a faite, et telle qu'elle attire l'homme de nos jours, est son ennemie et ne saurait être que son esclave ou bien son tyran, mais jamais sa compagne. Cela, elle ne pourra l'être que lorsqu'elle sera son égale en droits, son égale aussi par son éducation et par son travail ».
C'est dans son livre Psychopathia Sexualis (publié en 1886) que le docteur Richard von Krafft-Ebing forge le mot masochisme. Sacher-Masoch s'éleva contre l'utilisation de son nom pour désigner une perversion.
Le masochisme est la recherche du plaisir dans la douleur. Cette douleur peut être psychologique (humiliation) ou physique.
C'est Krafft-Ebing qui qualifie le premier le nom de « masochisme » comme symptôme qu'il considérait comme une pathologie : « L'invention du masochiste : un psychopathe au féminin ».
« Ou comment Krafft-Ebing, docte inventeur de perversions en tout genre, change Masoch en criminel du sexe pour avoir commis le pire des crimes : renier le primat du phallus (le privilège de la virilité). (...) Krafft-Ebing en fait un pervers, c'est-à-dire un exclu, un réprouvé (...). Dans Psychopathia sexualis le masochisme est décrit comme monstrueux1. » Le masochisme vieux comme le monde n'a été identifié en tant qu'anomalie sexuelle qu'au XIXesiècle par Krafft-Ebing. Sa parenté avec le sadisme fut soupçonnée par le psychiatre. Mais c'est Sigmund Freud qui reliera, confirmera les termes sadisme et masochisme comme des contraires et une complémentarité avec le terme sadomasochisme.
Selon Sigmund Freud, il existerait trois masochismes distincts :
- Le masochisme érogène : Comme forme d'excitation sexuelle.
- Le masochisme féminin : Ce masochisme serait d'essence féminine. Soit lié au fonctionnement psychologique de la femme. Soit à l'homme devenu féminin parce que castré symboliquement face au phallus fantasmé de la mère. Exemple une femme en corset ou une femme « fétichisée ». « Mais si l'on a l'occasion d'étudier des cas dans lesquels les fantasmes ont connu une élaboration particulièrement riche, on découvre facilement qu'ils placent la personne dans une position caractéristique de la féminité et donc qu'ils signifient être castrés, subir le coït, ou accoucher. C'est pour cette raison que j'ai nommé, pour ainsi dire a posteriori masochisme féminin cette forme de masochisme dont tant d'éléments, pourtant, renvoient à la vie infantile2. »
- Le masochisme moral : Il a abandonné la libido pour vivre son masochisme dans la vie ordinaire. Il est celui qui, dans la vie de tous les jours, « tend toujours la joue quand il a la perspective de recevoir une gifle2 ».
Selon Benno Rosenberg, il y a deux masochismes :
- Le masochisme mortifère ;
- Le masochisme gardien de la vie :
Pour Benno Rosenberg, il n'y aurait pas de théorie possible du masochisme sans la pulsion de mort. Cependant dit-il : « le masochiste érotise et lie la destructivité issue de la pulsion de mort, la rendant ainsi supportable et, dans certaines conditions en limitant sa dangerosité. C'est ainsi que le masochisme devient gardien de la vie psychique3. » Le masochisme ne serait donc pas seulement dans une dérivation interne de la pulsion de mort, mais se trouverait au carrefour de la pulsion de vie et de la pulsion de mort.
Theodor Reik4 emploie le terme de Masochisme social pour analyser le masochisme moral selon Sigmund Freud.
Pour Theodor Reik toujours, « le masochisme est une tendance instinctive commune en tant que possibilité et réalisation à tous les êtres humains, et ne devient pathologique qu'en dépassant certaines limites et en adoptant une nature qui exclut presque toutes les autres directions de l'instinct. »
Sigmund Freud avoue qu'« il est d'ailleurs rare que les tortures masochistes produisent la même impression de sérieux que les cruautés - fantasmées ou mises en scène - du sadisme2 ». Il pose ainsi une première pierre au concept deleuzien du « monstre sémiologique ».
Dans un entretien entre Jean Laplanche et Jacques André, Laplanche précise : « je n'ai jamais parlé d'une position originaire du sadomasochisme. J'ai parlé d'une position originaire du masochisme. Il peut y avoir masochisme sans sadisme5 ».
Enfin c'est Gilles Deleuze qui niera le lien entre le masochisme et le sadisme « Sado-masochisme est un de ces noms mal fabriqués, monstre sémiologique6 ». Et il précise en cas de rencontre que « chacun fuit ou périt7 ».
Régis Michel confirme plus récemment : « Bataille est deleuzien avant l'heure » Il sait bien que les deux ne font pas la paire, fût-elle freudienne8
Sade, évidemment, agit en tant que « déclencheur » mais toute référence à Sade est dangereuse. Car Sade démontre la société cruelle, le crime et le viol d'enfants. Sa démonstration sert à dénoncer que la nature est mauvaise. Dans le sadisme, il n'y a pas de consentement et le sadique jouit de ses violences d'autant plus que la victime n'est pas consentante. « Jamais un vrai sadique ne supportera une victime masochiste »87. « Ils veulent être certains que leurs crimes coûtent des pleurs, ils renverraient une fille qui se rendrait à eux volontairement » précise une des victimes des moines dans Justine ou les Malheurs de la vertu88,87. - La comtesse de Ségur : visible. Histoire d'O : très clair.
À part certains ouvrages phares très explicites, il est évident que la littérature regorge de fantasmes sadiques ou masochistes et fétichistes. Gustave Flaubert dans La tentation de saint Antoine, son fétichisme dansSalammbô, Octave Mirbeau, Jean Genet, Émile Zola, etc.
Dostoïevski abordé par Freud2, grand masochiste moral devant l'éternel et selon Paul-Laurent Assoun89, il pourrait être le Sacher-Masoch du masochisme moral.
Selon Roland Villeneuve, dans Nana90, lorsqu'Emile Zola décrit la relation entre Nana et le comte Muffat, il est inspiré par la légende d'Aristote. Les images qui représentent le philosophe à quatre pattes, portant sur son dosPhyllis armée d'un fouet46.
C'est Jean-Paul Sartre qui parle du masochisme de Jean Genet : « L'enfant devine qu'une femme l'a arraché à soi, tout vivant, tout sanglant pour l'envoyer rouler au bout du monde et il se sent maudit : dès la naissance il est le mal aimé, l'inopportun, le surnuméraire. Indésirable jusque dans son être, il n'est pas le fils de cette femme : il est l'excrément. Et l'on verra avec quelle insistance, avec quel plaisir masochiste, Genet se comparera plus tard à une ordure, à un produit de déchet91. »
Jean Genet est victime de l'oppression sociale, Mais, dit-il « ne comptez pas sur moi pour critiquer les institutions » : Genet ne veut rien changer du tout, « il en a besoin comme Prométhée a besoin de son vautour ». C'est un moteur à sa création littéraire. L'auteur de Françoise Maîtresse nous dit : « Un livre, c'est légèrement sanglant. (...) Un livre c'est un maître, un esclave, un amant. Ces mots que l'on met bout à bout sont autant de joies, de douleurs, d'orgasmes, de coups de fouet. » Elle confirme l'expérience mystique et le côté masochiste de la création. C'est aussi ce que nous dit Nietzsche : « Je vous le dis, il faut avoir encore du chaos en soi pour enfanter une étoile dansante92. »
Le masochisme est au cœur de toute création artistique. La littérature de Masoch est le plus souvent dans le fantasme. Le fantasme est ce qui est irréalisable. Dans ses deux grands livres : Mardona mère de Dieu93 et La pêcheuse d'âme 94Sacher-Masoch évoque la mort. Dragomira, personnage romanesque par excellence dans La pêcheuse d'âmes a pour religion la mort. Elle offre à la mort le sacrifice des hommes qu'elle rencontre. MardonaLa mère de Dieu, elle, crucifie, plante les clous. Elle est la rédemptrice : « parce que c'est par la femme que le péché est entré dans le monde. Aussi assurent-ils que de la femme seule peuvent venir la rédemption et le rétablissement du paradis ».
Quant à la Vénus à la fourrure, ce que Sacher-Masoch écrit c'est pour le réaliser, c'est son programme. La Vénus à la fourrure a inspiré le titre d'une chanson du Velvet Underground, Venus in furs, composée par Lou Reed et consacrée au masochisme moderne95.
source principale : wikipédia
Bibliographie
rongés / tentation de lire...
- La Madone à la fourrure, trad. V. Piveteau, postface de J. Allouch et V. Piveteau : « Où le mariage moderne réduit le masochisme à la portion congrue », Paris, Epel, 2011. - « Ô quelle volupté d'être battu ! » : ainsi s'intitulait une des nouvelles de Sacher-Masoch (1836-1895). On ne peut s'étonner que le psychiatre Krafft-Ebing se soit inspiré de son ouvre pour créer le terme de "masochisme". L'univers romanesque de cet écrivain autrichien est en effet empreint d'une sensualité trouble, d'un constant sentiment de culpabilité, de l'angoisse du péché et du mal. Le héros de La Vénus à la fourrure raconte comment, aux termes d'un contrat conclu avec sa maîtresse, il s'est engagé à être son esclave, contraint de subir toutes les humiliations qu'elle jugerait bon de lui infliger : le bonheur alterne sans fin avec la douleur, comme si l'un ne pouvait venir que de l'autre.
- Un testament insensé, Paris, Autrement, 2009 (ISBN 9782746713550).
- Contes juifs, 2007. - La belle Warwara a de qui tenir : avant elle, son père pressurait déjà sans vergogne les paysans. Très vite, la jeune femme se révèle froide, inflexible. Sa seule passion ? Les ducats ! Habile comédienne, elle ruse pour se faire épouser par le baron Bromirski. Riche, elle n'en devient que plus vorace. Ruinant ses débiteurs, "elle boit leurs larmes comme du champagne"... Seul Maryan Janowski saura fendre un peu son coeur de pierre. Mais si elle accepte de prendre ce jeune homme pour amant, c'est encore avec une sorte d'avidité. À telle enseigne qu'elle offre à son épouse de lui acheter Maryan ! Satire féroce de la rage de posséder, Un testament insensé s'aventure avec autant de jubilation sur le terrain de la comédie burlesque. Le cynisme de Warwara est tel qu'il y a de quoi rire, en effet, à la lecture de ce court roman plein de fraîcheur.
- Contes juifs, 2007. - Fasciné par le judaïsme et blessé par le sort des juifs de Galicie, en butte à l'antisémitisme des seigneurs slaves, il a tenté de leur rendre hommage par la littérature. Il a écrit ces Contes Juifs en français, alors qu'il arrivait à Paris avec sa famille.
- La Femme séparée, trad. Strebinger, Marseille, Via Valerino, 1991.- Dans la société mondaine où elle évolue, Anne de Kossow joue de sa beauté et de ses avantages. Avilie par un mari indélicat, elle tyrannise ses amants ou les laisse dans un languissement tourmenté, jusqu'à ce qu'un jour sa propre destruction n'advienne, par le souvenir de son inconstance, ses cruautés passées et la perte de l'homme aimé, Julian. L'auteur recueille la confession de cette proscrite, douloureusement recluse dans ses fautes inexpiées, loin d'une aristocratie dévoyée par le paraître. Anna de Kossow, La Femme séparée, est la première Vénus à la fourrure, Anna de Kottowitz, avec laquelle Sacher-Masoch eut une liaison, avant sa rencontre avec Fanny von Pistor qui décide de son premier " contrat " : " Monsieur Léopold von Sacher-Masoch s'engage à être l'esclave de Madame von Pistor, à exécuter absolument tous ses désirs et ordres, et cela pendant six mois ". Un récit que l'écriture emporte au-delà de l'autobiographie, jusqu'aux rives éloignées et encore incertaines de la perversion.
- L’Amour de Platon, trad. J.-F. Boutout, Lagrasse, Verdier, 1991.
- La Mère de Dieu, trad. Strebinger, préf. Corsetti, Champ Vallon, Seyssel, 1991.
- La Pêcheuse d’âmes, trad. L.-C. Collomb, préf. J.-P. Corsetti, Champ Vallon, Seyssel,1991.
- La Vénus à la fourrure : et autres nouvelles, prés. Daniel Leuwers, Presses Pocket, Paris, 1985, ISBN 2-266-03879-6.
- Esthétique de la laideur, suivi de Diderot à Petersbourg (Diderot in Petersburg) Traduit et introduit par Georges-Paul Villa, Paris, Buchet-Chastel, 1967
- Les Batteuses d'hommes (sept nouvelles), vol. I, éd. Claude Tchou, 1967.- Qui ne connaît, même sans le vouloir, Léopold de Sacher-Masoch, ne serait-ce que pour ce mot désormais d'usage courant que son nom inspira, le masochisme, pratique sexuelle amenant certains à n'éprouver du plaisir que dans la douleur et l'humiliation. Difficile de dire si l'on parlerait encore aujourd'hui de cet auteur allemand du XIXe siècle, s'il n'avait servi d'exemple psychopathologique. Quoi qu'il en soit, l'amateur de littérature érotique ne peut échapper à cette oeuvre, dans laquelle les hommes mis en scène se plient aux caprices de femmes impérieuses et cruelles, par le biais de contrats de soumission clairement établis. Souvent étouffée par le succès de sa célèbre Vénus à la fourrure, le reste de l'oeuvre obsessionnelle de Sacher-Masoch mérite pourtant le détour : voici remis à la disposition du public Les Batteuses d'hommes, recueil de nouvelles représentatif des fantasmes fétichistes et masochistes de l'auteur.
- (La Dompteuse, Kasimira, Krach en amour, Un duel à l'américaine, Martscha, La Hyène de la Puszta, La Dame blanche de Machow.)
- Le Legs de Caïn, contes galiciens (cycle inachevé), vol. I, éd. Claude Tchou, 1967.
- (Dont L'Errant, Don Juan de Kolmea, Frinko Balaban, Clair de lune, Marcella. Le Conte bleu du bonheur.)
- L'Amour cruel (sept nouvelles), vol. II, éd. Claude Tchou, 1967.
- (La Tsarine noire, La Vénus de Murany, Les Noces sanglantes de Kiev, La Pantoufle de Sapho, La Judith de Bialopol, Eau de Jouvence, La Fontaine aux larmes.)
je ne m'attendais pas à trouver des contes juifs dans la littérature de Sacher-Masoch... me voilà tentée...
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